Bridget Riley, dont on a vu une exposition à Paris il y a quelques mois, est une artiste à signaler à tous les amateurs d’illusions d’optique puisque nombre de ses oeuvres sont basées justement sur elles.
Les travaux de certains neuro-physiologistes ont permis d’étudier les mécanismes cérébraux au coeur de ces peintures et déterminer que notre cerveau a besoin de temps pour se laisser perdre dans l’illusion d’optique (celle-ci disparaît complètement lorsque la peinture est simplement éclairé pendant une fraction de seconde par un flash électronique).
Source : ScienceBlogs